lundi 9 juin 2008

Henri Olive-Tamari


Quand j'avais vingt ans, Olive-Tamari commençait à entrer dans l'histoire alors que je commençais à regarder l'art.
J'avais une admiration et de la sympathie.
Olive-Tamari, c'est d'abord la lumière, la couleur et une joie de ressentir.
Une façon, également, de se livrer librement à de la recherche.
Il y a beaucoup de toiles de lui où à travers un art du paysage que je n'aime pas forcément, mais qu'il a radicalement modernisé, apparaît le sens de l'espace et de la lumière.
Et puis il y a tout un ensemble de toiles qu'il appela surréalistes... et que je trouve lumineuses et pointillistes. José Lenzini a fait un beau livre sur lui qui gagnerait à ne pas être oublié.

1 commentaire:

Laure Gerbaud a dit…

En voici une surprise! Je voulais revoir un peu de Tamari (souvenir de mon enfance, de son atelier, ses toiles,d'une soirée d'été et sans doute ce qui me vaut d'être peintre aujourd'hui!) et je tombe sur votre blog passionnant... Bravo!Belle initiative! Il ne manque que mon cher Claude-Henry Pollet.
Je reviendrai souvent hanter vos pages. J'aurais l'impression d'être moins seule en si belle compagnie... Tant d'artistes! Merci.